
Philippe Charlier étudie la mandibule de Diane de Poitiers.
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L’outil indispensable de la police judiciaire, l’analyse de l’ADN a permis de lever le voile sur des affaires criminelles datant parfois de plusieurs décennies. Mais l’analyse des empreintes génétiques est aussi utilisée par les historiens dans les enquêtes sur les mystères du passé. Grâce à la génétique, les chercheurs ont bien confirmé le destin du jeune Louis XVII emprisonné pendant la Révolution, prouvé que Napoléon repose bien dans sa tombe ou encore l’existence des liens de parenté entre Henri IV et Louis XVI.
Publié le 05/10/2015 - Modifié le 09/09/2020