
Le président syrien Bashar al-Assad assistant à une réunion du cabinet, le 20 juin 2017, dans la capitale Damas.
AFP PHOTO / HO / SANA
Le printemps 2011 marque l’avènement de révolutions démocratiques dans plusieurs pays d’Afrique du Nord ou du Moyen-Orient. On parle alors de « Printemps arabe ». En Syrie, les opposants au régime d’Assad participent de cette vague et espèrent une chute imminente du président syrien. Mais après des années de combats et des centaines de milliers de morts et de déplacés, non seulement le régime n’est pas tombé mais d’autres acteurs locaux et internationaux sont entrés en jeu. Un état des lieux consternant.
- Interviews de Karim Bitar, Antoine Fleyfel et Fabrice Balanche.
- Par Jean-Claude Allard, directeur de recherche à l’IRIS.
- Le point de vue de Didier Billion, directeur adjoint de l’IRIS.
Publié le 15/03/2018 - Modifié le 02/06/2021