Clémence Denavit :

Et si les Européens ont un faible pour le macaron caramel au beurre salé, les Asiatiques préféreront ceux aux fruits ou à la rose, moins sucrés.

Mais ce qui séduit le plus, c'est que ce petit gâteau porte en lui un art de vivre à la française.

David Holder :

Je pense qu’inconsciemment, les petites Japonaises qui dégustent un macaron Ladurée, elles s'imaginent être Marie-Antoinette, à l'époque au Petit Trianon, de manière assez lascive, en train de déguster un Saint-honoré à la rose.

Ça contribue au rêve qui est véhiculé autour de cette petite pâtisserie.

Clémence Denavit :

Et les papilles n'ont pas fini de s'affoler.

Clientes Ladurée :

Macarons, macarons.

Une cliente chez Ladurée [avec traduction] :

Je viens d'Israël juste pour ce petit gâteau.

On est à Paris depuis 3 jours et tout ce qu'on mange c'est [sans traduction] macarons, macarons, macarons.

[Rires]