
Image prise au microscopie électronique à transmission du virus Ebola
Callista Images/Getty
Le virus Ebola, parfois appelé aussi le virus de la fièvre hémorragique a causé plusieurs épidémies sur le continent africain et notamment dans l’Ouest. La maladie est fortement létale (entre 30 et 90% de personnes infectées ne survivent pas) et se transmet rapidement au contact avec les liquides organiques humains. Lors de la dernière épidémie en 2014 qui a fait presque 12 000 victimes, il était particulièrement difficile d’apporter de l’aide adéquate à la population touchée. Un vaccin est actuellement dans une phase d’essai ce qui apporte une lueur d’espoir dans la lutte contre cette maladie dangereuse pour laquelle n’existe pas de traitement officiellement considéré comme efficace. Mais les médecins redoutent surtout la mutation du virus et le changement de modes de transmission.
- Entretien avec Anaïs Legand, Technical Officer au sein du département Maladies épidémiques et pandémiques de l’Organisation mondiale de la Santé.
- Ces cinq interviews, réalisées par l’IRD en 2014, reviennent sur des éléments clés de compréhension des épidémies Ebola.
- Des chercheurs de l’IRD ont, pour la première fois, identifié des chauves-souris comme réservoir naturel potentiel du virus Ebola. Entretien avec Eric Leroy, Directeur de Recherche à l'IRD.
Publicado em 30/09/2015 - Modificado em 08/04/2021