
Drapeau de l'organisation État islamique porté par un militant, Irak, 2013.
Youtube/AFP
« Intégristes », « fondamentalistes », « islamistes » sont autant de termes qu’on peut leur appliquer, mais qui ne rendent pas compte de ce que sont ces combattants qui tuent au nom de Dieu et de l’idée qu’ils se font de l’islam. Convaincus que la guerre sainte, le « jihad », qui ne figure pas au nombre des cinq piliers de l’islam, est leur premier devoir, on les appelle désormais « jihadistes ». Leur combat, transnational, a pour arène tant le monde islamique que les pays non musulmans.
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- Reporter indépendant, Nicolas Hénin est spécialiste du monde arabe et a passé la majeure partie de sa carrière entre l’Irak et la Syrie. Il répond aux questions de Pascal Boniface à l’occasion de son ouvrage « Jihad Academy : nos erreurs face à l’État islamique », paru aux éditions Fayard.
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Publicado em 06/04/2016 - Modificado em 09/09/2021